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LE PUTOIS
Un mal famé
Il partage avec la plupart des autres mustélidés un
certain nombre de caractéristiques biologiques : Le territoire, d'une étendue de quelques dizaines
d'hectares, n'est pas utilisé de manière homogène :
un putois équipé d'un émetteur radio a été observé
sans interruption pendant 34 jours sur un espace de
25 ares: il y exploitait une importante colonie de
rats bruns. Loi du moindre effort et stratégie
opportuniste, en quelque sorte.
Plus d'informations:
http://www.roc.asso.fr/protection-faune/putois.html
http://www.dinosoria.com/putois.htm
Comme la plupart des autres carnivores, le putois a
longtemps été classé parmi les « nuisibles » et, de
ce fait, fut pourchassé, tué et piégé sans merci. A
l'heure actuelle encore, il est toujours classé « gibier » et sa chasse (tir, pièges...) demeure ouverte
9 mois sur 12 « Région wallonne ». Pareille chose
est aberrante, car le putois, bien que largement
réparti sur tout le territoire belge, est une espèce
en déclin, menacée. En outre, elle rend
d'inestimables services à l'homme en éliminant
quantité de rongeurs indésirables : rats bruns,
souris, campagnols. Cela vaut certainement bien
qu'on lui pardonne quelques lapins et l'un ou
l'autre faisan d'élevage.
• mâles plus grands que les femelles;
• habitudes solitaires et territoriales;
• territoires des mâles plus grands et chevauchant
ceux des femelles;
• élevage des jeunes effectué seulement par les
femelles
soit par mail (cliquez sur "contacts"), soit par fax au 02/503 38 11
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